Une alliance pour décarboner la route
L’alliance estime qu’il existe des solutions comme l’électrification de la flotte de voitures et poids lourds, le déploiement de bornes d’énergies alternatives (biogaz, hydrogène, électricité), la route électrique pour camions, mais aussi la production d’énergies renouvelables le long des routes et autoroutes, sans oublier la création de lignes de cars express et « l’incitation orchestrée à la sobriété, au covoiturage, à l’autopartage ». « La conviction partagée des acteurs de l’Alliance est que la décarbonation de la route demande à être placée de façon urgente au cœur du débat et de la décision politique, et requiert, pour l’avenir de la France, la mise en œuvre concertée d’un plan ambitieux d’investissements publics et privés », peut-on lire dans leur communiqué.
Parmi la vingtaine de participants, on trouve entre autres les transporteurs publics Keolis et Transdev, la société concessionnaire Vinci Autoroutes, le constructeur automobile BMW France, le logisticien Geodis, le transporteur Transdev ou encore le gestionnaire de réseau de distribution de gaz GRDF. Des collectivités telles que Montpellier, Valence et le département de l’Essonne sont également parties prenantes.