Partout dans la nature, on peut trouver de l’hydrogène à l’état libre sous la forme moléculaire H2, sous la forme d’émanations de gaz, dans l’eau (à partir d’électrolyse, à la base d’électricité renouvelable), les biomasses (avec le carbone, qui constitue la majorité de sa structure chimique), et les hydrocarbures. 

Plusieurs véhicules fonctionnent à l’hydrogène renouvelable, que ce soit sur terre, sur mer et dans les airs.

L’hydrogène sert aussi à l’autonomie énergétique, pour tout type de besoin (se chauffer, s’éclaire, s’isoler) et s’illustre dans des situations particulières comme dans les habitats pavillonnaires et des petites agglomérations rurales, les exploitations agricoles, et les entreprises.

L’hydrogène renouvelable est mis en lumière dans l’industrie. Elle sert de matière première pour le raffinage des produits pétroliers, de l’agrochimie, la chimie de base, et la sidérurgie. Elle est aussi mise en lumière dans l’industrie alimentaire, du verre, dans la parfumerie et le cosmétique.

Le Power-to-gas est une autre façon d’améliorer l’hydrogène en le mélangeant au gaz naturel ou en le combinant à du CO2 pour produire du méthane de synthèse.

Concernant le transport de l’hydrogène renouvelable, la mobilité s’opère par des stations de distributions sur le modèle des stations-service de carburants ou à partir d’unité de stockage. Son transport se fait sous sa forme gazeuse, grâce à sa faible densité. Cela peut se faire sous la forme liquide (à -253°C), mais cela requiert des enceintes cryostatiques de hautes performances.

Il existe un « plan de déploiement de l’hydrogène pour la transition énergétique » pour renforcer les liens entre l’hydrogène renouvelable et, énergies photovoltaïques et éoliennes. Ce plan consiste à produire de l’hydrogène par électrolyse pour l’industrie, valoriser les usages de la mobilité et stabiliser les réseaux énergétiques.